Subject:            [lumière] Nom de nom de nom de noms ! 

From: CambyPhJ@aol.com 

A tous les Êtres en quête de la lumière qui est en eux et dans laquelle ils baignent, avis ! Les anges et les dieux, dans leur langue parfaite, disposent de 47 phonèmes pour jouer de la musique, rigoler en famille et nous nommer. Les univers - on les appelle Artha, les mondes, ou Jagat, « ce qui bouge » -sont des compositions vibratoires. La "réalité" est cousue de fil d'ondes (blanches ! ). Tant et si bien qu'il est ridicule de ne pas « croire » aux qualités d'un nom signifié par les anges ou les dieux. Sans son nom divin, sans la longueur d'onde qu'il représente dans la symphonie, l'Être qui doute ne serait pas. C'est ne pas croire à sa propre existence.

Allez ! c'est arrivé à d'autres !!!

Voulez-vous connaître le véritable sens de la phrase de Socrate : « Je sais que je ne sais rien » ?

  Citation :

Nous la comprenons comme l'affirmation d'un scepticisme serein et d'une souveraine humilité cette sentence du sage : « Je sais que je ne sais rien. » Mais si nous la considérons dans sa formulation authentique, on constate qu'il s'agit d'un tragique aveu d'impuissance. Socrate emploie pour dire qu'il ne sait pas l'aoriste du verbe voir : « Je n'ai pas vu ». Il dit très exactement : « Je sais que je n'ai pas vu. » Il se souvient que le regard de Pythagore, de Démocrite ou d'Empédocle descendit jusqu'à l'atome et que les Sept sages de la Grâce, aussi bien que les rishis gangétiques, parlaient par expérience « de la vérité et des mondes divins. » Ils les avaient vus. Lui-même en est incapable.

Il n'a pas vu la lumière. Il n'est pas un voyant.

Socrate en est désespéré. 

Fin de citation. 

            Il est bon quelquefois d'attendre en silence la grâce de l'expérience.

            Bizatous 

Philippe